La convention du renouvellement urbain signée

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La convention du renouvellement urbain signée

Publié le 2 mai 2019
Modifié le 10 mai 2019
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La signature de la convention pluriannuelle du renouvellement urbain s’est déroulée ce jeudi 2 mai.
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447 millions d’euros pour transformer les quartiers des Villeneuves d’Echirolles et Grenoble, mais aussi Mistral (Grenoble) et Renaudie-Champberton-La Plaine (Saint-Martin-d’hères). L’objectif est de transformer durablement ces quartiers prioritaires, en renforçant leur attractivité, en favorisant la mixité sociale et en améliorant la qualité de vie des habitant-es. Une signature avec l’ensemble des acteurs de ce grand projet : élus, directeur de l’Agence Nationale de renouvellement urbain, la vice présidente d’Absise, et en présence des représentants des conseils citoyens.

 

Le maire Renzo Sulli précise : “Aujourd’hui on signe ce que les quartiers attendent depuis des années.” Il souligne également la cohérence des projets en prenant en compte toutes les problématiques. “Ce n’est pas seulement changer les logements. Cela ne se fait pas sans l’école, sans lien social. On a travaillé quelque chose qui prenait exemple sur ce qui avait été fait, mais en prenant également en compte les limites. C’est le début d’un projet d’une dizaine d’années !”
“C’est une dynamique d’engagement en faveur de la Centralité Sud. De grands projets vont émerger.” précise Christophe Ferrari, président de Grenoble-Alpes-Métropole.
Eric Piolle maire de Grenoble, explique que “les quartiers populaires ont une dynamique qui ont beaucoup à amener à la Métropole.”

Nicolas Grivel, Directeur national de l’agence de rénovation urbaine, après avoir précisé qu’il s’agissait d’un des projets les plus ambitieux a souligné le travail effectué “On a parcouru un vrai chemin partenarial collectif”. Une mise en avant de l’importance de l’implication locale “On ne fait rien de Paris. Les projets naissent ici ! Derrière les chiffres, il y a l’ambition et la cohérence. Personne ne prétend que la rénovation urbaine peut tout et fait tout. Il faut l’accompagner puissamment. Ne serait-ce que par le volet éducatif. Tout ça doit être cohérent et très articulé. C’est votre défi !”

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