Bafa intercommunal : une première validée !

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Bafa intercommunal : une première validée !

Publié le 3 juillet 2017
Modifié le 11 juillet 2017
Résumé actualité
Une vingtaine de jeunes de l’agglomération — 10 Martinérois-es, 5 Echirollois-ses, 4 Fontainois-es — ont participé à la première formation intercommunale au Bafa.
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Session de perfectionnement au Bafa intercommunal à l'Espace Prévert
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Pierre Labriet, adjoint à la jeunesse, à l'insertion et à la formation, a félicité et encouragé les jeunes stagiaires lors de la session de perfectionnement, organisée à Echirolles, à l’Espace Prévert.
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Une première organisée par les services jeunesse des trois communes, encadrée par les formateurs des Centres d'entraînement aux méthodes d'éducation active (Cemea) Rhône-Alpes. Une formation qui a débutée en octobre 2016 par la session de base, à Fontaine, s’est poursuivie par des stages pratiques dans des structures des trois Villes, et s’est achevée par la session de perfectionnement à l’Espace Prévert, au Village Sud. “Le Bafa, c’est la chance pour vous d’avoir un petit, voire un grand emploi d’animateur. Nous avons besoin de personnes qui ont le Bafa complet, leur a indiqué Pierre Labriet, adjoint à la jeunesse, à l'insertion et à la formation. J’espère que cette première expérience collective, le fait de pouvoir travailler avec des gens de différents horizons, vous a plu. Et pourquoi ne pas l’élargir encore à l’avenir ?” Une piste à explorer...

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Imane Benhamed stagiaire bafa intercommunal 2017
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Témoignage
Imane Benhamed
Stagiaire du Bafa intercommunal

“Je veux travailler avec des enfants depuis le bac. Je me suis renseignée en MJC, en centre de loisirs... A chaque fois, on me demandait le Bafa”, explique la jeune Echirolloise de 19 ans. “Le Bureau information et initiative jeunesse (BIIJ) m’a parlé de la formation. J’étais intéressée, mais je n’étais pas sûre d’avoir le temps”, poursuit l’étudiante en première année de psychologie. Elle a finalement pris part à la formation. “Et je le referais. Ça m’a permis de voir comment travaillent des professionnel-les de structures de différentes villes, de rencontrer d’autres jeunes. Plus on est nombreux, plus on a de points de vue différents”, se réjouit Imane, qui souhaite “continuer dans l’animation, passer des formations, des diplômes, pour travailler avec les enfants”.